Planteur
quel est notre sagesse !
L’esclavage
n’est plus ou pas un dressage
D’évolution
d’âme
Qu’ai-je
semé qui ne voit le jour ?
Qu’ai-je
semé qui ne voit la nuit ?
J’ai
semé une voie pour un nouvel universel
Ça
ne fait pas longtemps que le soleil
N’est
plus de nos semailles le temps.
Nous
avions planté un planétaire
La betterave,
l’homme du monde des nations
Mais
il n’y a plus de saisons dans le solipsisme
Fini
l’équinoxe du printemps
Fini
le solstice d’été
Fini
l’équinoxe de l’automne
Fini
le solstice de l’hiver
Folie
diriez vous que de sortir des révolutions
Du
cœur des apparences, des rotations
Le
tropique du cancer, l’équateur,
Le
tropique du capricorne sont une pensée
Dépassée
dès l’inter galactique
Le hasard
n’est pas en inframonde
Planteur
après le linéaire du surnature urbain
Nous
sommes du livre encore lu du cycle
Et ne
savons pas marcher seul(e)
C’est
l’enfer tout est contraire à la nature
Nous
créons un plancher de rêve lucide
Fils
hybride du tout, capucin de la gravité
Homme
de l’arbre,
L’involution
du mot est de l’idéal
Cas HCëDMQ,
l’espace temps
Du pas
chaos en pointe de nos instincts, le logos
Enfermés dans un ensemble
Nous
sommes contraints à l’inclusion
Illégitime
de la tête au pied
Nous
sommes contraints à une nouvelle marche
Du je
démocratique impérial métaphysique
Le livre
est dans l’ordinateur un moyen âge
De technologie
et de lecture, de l’homme du monde
Le
solipsisme mono est schizophrénique
Les dieux
de tout temps sont aussi de la partie
En chef
ubique, la démocratie mono souffre
Là l’éros
est crucifié
Ps ;
le rêve est la piste d’atterrissage
Planteur
la sagesse est au-delà, par delà
L’étoile
de la mort, est l’entreprise ferme, est la joi